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Chères lectrices, chers lecteurs, 

Vingt et un jours.

C’est assez long pour paraître crédible, et assez court pour sembler faisable.

Qui ne voudrait pas changer sa vie en trois semaines ?

L’idée est si attrayante qu’elle a été adoptée par les gourous du développement personnel. Au fil du temps, des livres, des cours et bien d’autres ont commencé à affirmer qu’il faut 21 jours pour adopter une nouvelle habitude ou s’habituer à une nouvelle réalité.

Tu as probablement déjà entendu cela auparavant, et clairement, moi aussi, compte tenu de la chronologie de ce défi !

Mais la vérité est qu’il faut souvent environ ou au moins 21 jours pour qu’une nouvelle habitude ou réalité paraisse normale.

Environ 21 jours. Au moins 21 jours.

La marque de 21 jours n’ai pas absolue. C’est une ligne directrice générale, et pour des changements plus importants, un minimum. La durée réelle du changement dépend de plusieurs facteurs.

Tu as passé les cinq derniers jours à puiser dans le passé, à déterrer et à libérer certaines de tes émotions les plus profondes et à examiner leur impact sur certains de tes choix actuels. Aujourd’hui, revenons sur ce que tu as découvert, revisitons toutes les parties particulièrement utiles et examinons également comment tirer le meilleur parti de ce parcours en allégeant la pression de notre chronologie de 21 jours.

C’est vraiment ok

Combien de temps t’a-t-il fallu pour arriver au jour 15 ? Plus de 20 jours ? Moins de 15 ?

Tapotes-tu quotidiennement ? Ou es-tu occupé à te sentir coupable parce que tu n’as fait que tapoter ici et là ?

Au fil des ans, j’ai remarqué une tendance dans l’industrie du développement personnel, un sentiment subtil mais persistant parmi le public qu’il ne travaille pas assez dur ou n’en fait pas assez chaque jour, mois et année pour s’améliorer.

Ce sont des personnes qui lisent des livres, écoutent des audios et assistent à des événements, mais ont toujours le sentiment que leurs efforts pour s’améliorer et améliorer leur vie ne sont pas à la hauteur.

Le stress créé par la croyance que nous n’en faisons pas assez est, en soi, un obstacle au progrès.

Écoute, je veux que tu suives ce défi.

Je veux que tu tapotes quotidiennement et que tu termines une journée chaque jour.

Je connais le potentiel de ce défi pour t’aider à devenir ton plus grand toi et, à son tour, à vivre ta plus belle vie.

Je crois en toi, et je crois en l’EFT.

Même quelques minutes chaque jour peuvent donner des résultats puissants !

C’est ce que je veux pour toi. Honnêtement, j’ai hâte d’entendre comment l’EFT t’aide à manifester ton plus grand toi.

Le fait est que le changement se produit différemment, à des moments différents et à un rythme différent, pour chacun de nous. Le processus de changement peut être capricieux. Nos vies parfois se compliquent et nous ralentissent.

Tout va bien. C’est normal.

Avant de revenir sur tes progrès au cours de la deuxième semaine de ce défi, permets-moi de dire ceci :

Tu n’es pas un projet.

Tu n’as pas besoin d’être réparé.

Si tu sens que ta vie ne reflète pas ton plus grand toi, saches que tu es au bon endroit.

Ne pas te sentir toi-même en ce moment ne signifie pas que tu n’es pas génial tel que tu es. Cela signifie que tu te sens poussé vers ton potentiel non réalisé.

Cela ne signifie pas que tu es cassé ou que ta vie est un problème. Tu peux avoir des problèmes dans ta vie. Nous en avons tous. Avoir des problèmes est différent que de se voir comme l’un d’entre eux.

Alors je me répète :

Tu n’es pas un problème. Tu n’es pas un projet. Tu n’as pas besoin d’être réparé.

Ce défi consiste à t’élever vers ton plus grand toi. Il s’agit de réaliser ce potentiel non réalisé dans un ou plusieurs domaines de ta vie. Et une partie de la manifestation de ton plus grand toi consiste en fait à accepter les parties de toi qui ne sont pas « parfaites ».

Si ton parcours jusqu’à présent a pris plus, ou moins, que 14 jours, n’en faisons pas un problème. Croyons au fait que cela a été le bon rythme pour toi jusqu’à présent. Tu peux changer ton rythme à l’avenir, ou non. C’est à toi de décider, mais se sentir en paix avec où tu en es dans ce défi est un élément essentiel pour aller de l’avant.

Juste à temps

Te souviens-tu, au cours de la première semaine, comment nous nous sommes concentrés sur le sentiment de paix plutôt que sur la panique ?

Prends un moment maintenant pour réfléchir à ton parcours jusqu’à présent, à l’EFT que tu as fait jusqu’à présent, y compris le temps qu’il t’a fallu pour arriver au jour 15.

Quel degré de « panique », de stress, d’inquiétude, d’anxiété, de culpabilité, de découragement, de frustration, etc… ressens-tu lorsque tu te concentres sur où tu en es dans ton parcours ?

Donnes maintenant à ce sentiment de « panique » une note d’intensités sur une échelle de 0 à 10.

Prends trois respirations profondes et commençons par tapoter sur le point Karaté en répétant trois fois : Même si je ressens cette panique vis à vis d’où j’en suis dans ma vie et dans ce parcours, je choisis de m’aimer et d’accepter ce que je ressens.

Début du sourcil : Cette panique.

Coin de l’oeil : J’ai l’impression de ne pas aller assez vite

Sous l’oeil : Comme si je ne faisais pas encore assez de progrès

Sous le nez : Je ne me sens pas encore être la meilleure version de moi-même

Menton : Et cela me fait paniquer

Sous la clavicule : Je ressens cette panique dans mon corps

Sous le bras : Je veux me transformer plus vite

Sommet de la tête : Je veux être mon plus grand moi maintenant

Début du sourcil : Cette panique

Coin de l’oeil : Je la sens

Sous l’oeil : Elle est dans mon corps

Sous le nez : Je veux de grands résultats maintenant

Menton : J’ai besoin de grands résultats maintenant

Sous la clavicule : Cette panique

Sous le bras : Elle me ralentit

Sommet de la tête : Et cela me fait peur

Début du sourcil : Elle me bloque, et je l’ai depuis si longtemps

Coin de l’oeil : Et si je pouvais laisser partir cette panique maintenant ?

Sous l’oeil : Et si je choisissais la paix ?

Sous le nez : Je peux avoir confiance que je suis là où je dois être

Menton : Je peux être sûr que je manifeste mon plus grand moi

Sous la clavicule : Je peux me sentir en paix avec moi-même

Sous le bras : Je peux voir les problèmes dans ma vie

Sommet de la tête : Et je me sens toujours en paix avec moi-même

Début du sourcil : Je fais le travail

Coin de l’oeil : Une étape à la fois

Sous l’oeil : Je peux donc me détendre en toute sécurité

Sous le nez : Et me pardonner de ne pas être « parfait »

Menton : Me faire confiance

Sous la clavicule : Et savoir que tout se passe comme prévu

Sous le bras : Je me sens en sécurité et calme dans mon corps

Sommet de le tête : Maintenant

Respires profondément. Reviens sur ton sentiment de « panique » vis à vis d’où tu en es dans ton parcours et ta vie. Donnes à cette « panique » une note d’intensités sur une échelle de 0 à 10. Continues à tapoter jusqu’à ce que tu ressentes le niveau de paix souhaité.

Qu’est-ce qui ressort pour toi ?

Durant notre jeune âge, notre subconscient absorbe les messages et ceux-ci restent avec nous, que nous en soyons conscients ou non en tant qu’adultes.

Au cours de la semaine dernière, tu as utilisé l’EFT pour découvrir certaines des programmations émotionnelles et mentales profondes qui influencent probablement la façon dont tu te présentes chaque jour.

Sans trop y penser, choisis un ou deux jours de ce défi qui se démarquent pour toi, soit comme étant particulièrement pertinents, soit comme un sentiment non résolu ou incomplet :

Choisis l’un de ces deux jours et prends quelques notes rapides sur ce qui t’a marqué sur ce jour-là. Essayes d’être précis dans ta réponse. Ainsi, au lieu d’écrire « il a touché une corde sensible », écris pourquoi il a touché une corde sensible. Par exemple, « Le jour 14 m’a fait réaliser que mes difficultés à dire non remontent à la maternelle, lorsque mon instituteur m’a puni pour avoir dit non. »

Le jour … se démarque pour moi parce que …

Fais quelques tapotements là-dessus, à la fois en tapotant sur ta mémoire, ainsi que sur les émotions qu’elle a créées, jusqu’à ce que cet événement ait moins de charge émotionnelle pour toi.

Demandes-toi ensuite :

Qu’est-ce que cet événement m’a fait croire que je ne pouvais pas faire ou être ?

Peut-être, par exemple, que ton instituteur de maternelle criant après toi a créé la croyance que dire non est mauvais.

Notes la croyance limitante que cet événement a créée en toi.

Respires profondément. À quel point ressens-tu cette croyance comme vrai sur une échelle de 0 à 10 ? Donnes-lui une note maintenant.

Ensuite, fais quelques tapotements sur ta croyance limitante. Dans mon exemple, ce tapotement pourrait ressembler à ceci :

Point Karaté : Même si mon instituteur de maternelle criant après moi a créé cette croyance que je n’ai pas le droit de dire non, je m’aime et j’accepte ce que je ressens.

Début du sourcil : Je ne peux pas dire non

Coin de l’oeil : Je n’ai pas le droit de dire non

Sous l’oeil : Je sais que ce n’est pas vrai

Sous le nez : Cependant, cela semble toujours vrai

Menton : Mon instituteur de maternelle m’a crié dessus

Sous la clavicule : J’avais tellement peur

Sous le bras : J’ai eu honte de lui avoir dit non

Sommet de la tête : J’ai appris que je ne devais pas dire non

Début du sourcil : Mais ce n’est plus vrai

Coin de l’oeil : Mon cerveau conscient le comprend

Sous l’oeil : Mais mon cerveau primitif a toujours peur de dire non

Sous le nez : Je me fige quand j’ai besoin de dire non

Menton : Alors je dis oui à la place

Sous la clavicule : Sur le moment, dire oui est plus facile

Sous le bras : Ce n’est que plus tard que j’aurais aimé avoir dit non

Sommet de la tête : J’en ai marre de dire oui quand je veux dire non

Début du sourcil : Je peux abandonner cette peur en disant non

Coin de l’oeil : Je peux faire mes propres choix maintenant

Sous l’oeil : Je peux abandonner la peur que j’ai ressentie ce jour-là

Sous le nez : Je peux me sentir en sécurité en disant non

Menton: Non

Sous la clavicule : Je dis non

Sous le bras : Je peux dire non chaque fois que j’en ai envi

Sommet de la tête : C’est sûr pour moi de dire non

Lorsque tu es prêt, respires profondément et évalues à nouveau la véracité de ta croyance limitante sur une échelle de 0 à 10. Continues à tapoter jusqu’à ce que cela ne te semble plus vrai.

Tu peux répéter ce même processus pour les autres jours de la deuxième semaine, au besoin, jusqu’à ce que tu te sentes prêt à passer au jour 16.

Surprise !

Il n’y a pas de défi aujourd’hui. Tu as atteint le jour 15. Félicitations !

Prends un peu plus de temps pour sentir le parfum des roses, préparer ta tasse de thé préférée, appeler un ami ou simplement contempler le paysage.

Tout ce qui fait chanter ton cœur aujourd’hui, fais le et profites-en.

Méditation jour 14 – Je n’ai pas besoin d’être réparé

C’est une excellente méditation à utiliser lorsque tu te sens submergé par le nombre d’émotions, d’événements et de comportements que tu souhaites transformer. Grâce à cette ronde d’EFT, tu te sentiras plus en paix avec qui, quoi et où tu es maintenant.

Tu n’es pas un projet. Tu n’as pas besoin d’être.

Est-ce que tu y crois vraiment ?

Si ce n’est pas le cas, observes à quel point tu as l’impression que toi et/ou ta vie avez besoin d’être « réparés ». Évalues l’intensité de ce sentiment sur une échelle de 0 à 10 maintenant.

Prends trois respirations profondes et commençons par tapoter sur le point Karaté en répétant trois fois : Même si je me sens cassé, comme si ma vie avait besoin d’un grand relooking, je choisis d’accepter ce que je ressens.

Début du sourcil : Je me sens cassé

Coin de l’oeil : Il y a tellement de problèmes sur lesquels je dois tapoter !

Sous l’oeil : Ma vie ressemble à un énorme gâchis

Sous le nez : J’ai l’impression qu’elle a besoin d’un énorme relooking

Menton : Je suis épuisé par le nombre de « réparations » que je dois faire

Sous la clavicule : Et sur combien de « trucs » dois-je tapoter !

Sous le bras : C’est trop

Sommet de la tête : Je veux juste que tout disparaisse

Début du sourcil : C’est trop intense à gérer

Coin de l’oeil : Il y en a trop

Sous l’oeil : Je veux que tout s’en aille

Sous le nez : C’est trop

Menton : Trop intense

Sous la clavicule : Et s’en occuper serait trop de travail

Sous le bras : J’ai juste besoin que tout s’en ailler

Sommet de la tête : Je veux qu’ils partent comme par magie et qu’ils ne reviennent jamais

Début du sourcil : Je suis fatigué de penser à toutes les choses sur lesquelles j’ai besoin de tapoter

Coin de l’oeil : Et à quel point ma vie a besoin d’être réparée

Sous l’oeil : C’est trop

Sous le nez : Trop intense

Menton : Trop de travail

Sous la clavicule : Je ne veux pas le faire

Sous le bras : C’est bon

Sommet de la tête : Peut-être que je n’ai pas à le faire

Début du sourcil : Peut-être que je me mets trop de pression

moi-même

Coin de l’oeil : Je crée une urgence dont je n’ai pas besoin

Sous l’oeil : Toute cette pression

Sous le nez : Je n’aime pas ça

Menton : Pourquoi suis-je si pressé ?

Sous la clavicule : C’est un processus

Sous le bras : Je peux ralentir en toute sécurité lorsque j’en ai besoin

Sommet de la tête : Libérer cette pression

Début du sourcil : Peut-être que je n’ai pas besoin d’être réparé

Coin de l’oeil : Je peux devenir plus conscient

Sous l’oeil : Et transformer ce que je choisis

Sous le nez : Mais je ne suis pas cassé

Menton : Et ma vie n’est pas un projet

Sous la clavicule : Je suis bien comme je suis

Sous le bras : Je peux m’apprécier maintenant

Sommet de la tête : Je n’ai pas besoin d’être réparé

Début du sourcil : Je peux me détendre concernant l’endroit où je suis

Coin de l’oeil : Je peux aussi progresser

Sous l’oeil : Et profiter du processus

Sous le nez : Je libère toute la pression restante

Menton : Je n’ai pas besoin de réparation !

Sous la clavicule : Je ne suis pas un projet

Sous le bras : Je peux être sûr que les choses se déroulent parfaitement

Sommet de la tête : Et me sentir bien maintenant

Respires profondément. Encore une fois, évalues à quel point tu ressens le besoin d’être réparé sur une échelle de 0 à 10. Continues à tapoter jusqu’à ce que tu ressentes la libération souhaitée.

A ton rayonnement infini,

Sandra